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Petits bonhommes

Type de projet

L'homme face à la haute montagne

Vous pouvez, sur demande, en acquérir en tirage original sur dibond. Elles sont limitées à 30 exemplaires, tirées sous contrôle du photographe en local, à Guillestre et délivrées avec un certificat d'authenticité.

Au pied de la Meije le 21 mars 2024. Fatigué de trois jours d’itinérance, fasciné par la beauté des montagnes que l’on a traversées, j’ai pris ce cliché comme une évidence. La scène, épurée et sincère, m’a frappé. Malgré la fatigue, je sors mon appareil pour la saisir. C’est une œuvre spontanée et elle fait partie de mes préférées !

Au pied de la Meije le 21 mars 2024. Fatigué de trois jours d’itinérance, fasciné par la beauté des montagnes que l’on a traversées, j’ai pris ce cliché comme une évidence. La scène, épurée et sincère, m’a frappé. Malgré la fatigue, je sors mon appareil pour la saisir. C’est une œuvre spontanée et elle fait partie de mes préférées !

23 juin 2021 sur le Glacier du Géant. Nos deux cordées s'élancent vers le Roi de Siam sous un ciel bleu et un soleil tout juste levé. Disparaissant et se réfugiant dans les nuages, nous sommes contraints de faire demi-tour en fin de voie.

23 juin 2021 sur le Glacier du Géant. Nos deux cordées s'élancent vers le Roi de Siam sous un ciel bleu et un soleil tout juste levé. Disparaissant et se réfugiant dans les nuages, nous sommes contraints de faire demi-tour en fin de voie.

05 juin 2024, seconde tentative d'ascension du Mont Blanc à ski. On y observe trois alpinistes passer d'est en ouest le col de la Brenva (4 314 m). Sur la traversée des trois monts (Mont-Blanc du Tacul, Mont Maudit et Mont Blanc), le soleil se lève dans leur dos, ils se font rattraper par le jour.

05 juin 2024, seconde tentative d'ascension du Mont Blanc à ski. On y observe trois alpinistes passer d'est en ouest le col de la Brenva (4 314 m). Sur la traversée des trois monts (Mont-Blanc du Tacul, Mont Maudit et Mont Blanc), le soleil se lève dans leur dos, ils se font rattraper par le jour.

20240602_Chamonix_Mont-Blanc_395

20240602_Chamonix_Mont-Blanc_395

03 juin 2024 : les Grand Mulets. Perché sur son promontoire, entre deux glaciers, le refuge se réfugie hors de portée de la glace. Il faut maintenant laisser skis et bâtons dans la neige puis se hisser jusqu'à lui.

03 juin 2024 : les Grand Mulets. Perché sur son promontoire, entre deux glaciers, le refuge se réfugie hors de portée de la glace. Il faut maintenant laisser skis et bâtons dans la neige puis se hisser jusqu'à lui.

02 juin 2024 : On rejoint le refuge des Grands Mulets. C'est l'approche de refuge la plus technique que j'ai réalisée jusqu'à présent. La Jonction est le lieu de collision entre deux glaciers, celui des Bossons et de Taconnaz. Les deux titans de glace se percutent et se déchirent sur une longue langue que l'on doit traverser.

02 juin 2024 : On rejoint le refuge des Grands Mulets. C'est l'approche de refuge la plus technique que j'ai réalisée jusqu'à présent. La Jonction est le lieu de collision entre deux glaciers, celui des Bossons et de Taconnaz. Les deux titans de glace se percutent et se déchirent sur une longue langue que l'on doit traverser.

Réalisée le 12 mai 2024, Face au Ailefroide est, pour moi, une belle mise en abyme. Observer. C'est ce qui me fait le plus de bien en haute montagne, observer ces paysages bruts. L'élégance de la roche et de la glace me submerge et me fascine. Les voiles nuageux m'intriguent. L'absence de l'Homme et de ses traces m'apaise. Je vous propose ici d'observer l'observateur !

Réalisée le 12 mai 2024, Face au Ailefroide est, pour moi, une belle mise en abyme. Observer. C'est ce qui me fait le plus de bien en haute montagne, observer ces paysages bruts. L'élégance de la roche et de la glace me submerge et me fascine. Les voiles nuageux m'intriguent. L'absence de l'Homme et de ses traces m'apaise. Je vous propose ici d'observer l'observateur !

05 juin 2024 : ascension du Mont-Blanc à ski, seconde tentative. Passant cette fois par le corridor, ce cliché est réalisé dans le Mur de la Côte. Épuisé par le rythme effréné de mon binôme, je lève la tête par moments pour profiter du paysage et des lumières du petit matin. Cette photo est prise à la volée, entre deux respirations saccadées, la vision trouble et le visage froid du vent glacial qui souffle là-haut.

05 juin 2024 : ascension du Mont-Blanc à ski, seconde tentative. Passant cette fois par le corridor, ce cliché est réalisé dans le Mur de la Côte. Épuisé par le rythme effréné de mon binôme, je lève la tête par moments pour profiter du paysage et des lumières du petit matin. Cette photo est prise à la volée, entre deux respirations saccadées, la vision trouble et le visage froid du vent glacial qui souffle là-haut.

20 avril 2024, objectif du jour : La Roche Faurio. Il faut remonter le glacier Blanc, avancer face au vent fort. Je me sens à contre-sens des éléments. La glace descend, le vent dévale, l'homme s'obstine à monter.

20 avril 2024, objectif du jour : La Roche Faurio. Il faut remonter le glacier Blanc, avancer face au vent fort. Je me sens à contre-sens des éléments. La glace descend, le vent dévale, l'homme s'obstine à monter.

05 octobre 2019 en direction des Ailefroides. Ce cliché fait partie de mes premiers, et pourtant, encore aujourd'hui, je lui trouve de la poésie. Fatigué par une longue approche, fatigué par le manque d'entraînement, perturbé par mon retour brutal à la surface après 3 mois et demi de mission sous-marine, la vue du refuge sonne comme une délivrance. Je prends quand même le temps de ressortir mon appareil.

05 octobre 2019 en direction des Ailefroides. Ce cliché fait partie de mes premiers, et pourtant, encore aujourd'hui, je lui trouve de la poésie. Fatigué par une longue approche, fatigué par le manque d'entraînement, perturbé par mon retour brutal à la surface après 3 mois et demi de mission sous-marine, la vue du refuge sonne comme une délivrance. Je prends quand même le temps de ressortir mon appareil.

Cette œuvre a été réalisée à l’occasion du tour de la Meije le 21 mars 2024. Après trois jours d'itinérance autour de la Meije, fatigué par le dénivelé et la mauvaise neige, j'observe mon binôme s'approcher lentement du refuge de l'Aigle. Le vent lèche le glacier, l'air est froid, mais le soleil perce enfin. Malgré l'envie d'arriver avant tout, je me fais violence pour sortir mon appareil et réalise ce cliché.

Cette œuvre a été réalisée à l’occasion du tour de la Meije le 21 mars 2024. Après trois jours d'itinérance autour de la Meije, fatigué par le dénivelé et la mauvaise neige, j'observe mon binôme s'approcher lentement du refuge de l'Aigle. Le vent lèche le glacier, l'air est froid, mais le soleil perce enfin. Malgré l'envie d'arriver avant tout, je me fais violence pour sortir mon appareil et réalise ce cliché.

Cette œuvre a été réalisée le 24 février 2024. Un skieur fait sa trace paisiblement vers le col de Chamoussière. Il avance en direction du col, sûrement plus loin même, seul dans cette neige fraîche.

Cette œuvre a été réalisée le 24 février 2024. Un skieur fait sa trace paisiblement vers le col de Chamoussière. Il avance en direction du col, sûrement plus loin même, seul dans cette neige fraîche.

24 février 2024, la météo est incertaine. On passe le col de Chamoussière sous le soleil qui se lève dans un voile blanc et fin. On avance doucement, régulièrement dans cette immensité blanche de neige et de ciel. On avance…

24 février 2024, la météo est incertaine. On passe le col de Chamoussière sous le soleil qui se lève dans un voile blanc et fin. On avance doucement, régulièrement dans cette immensité blanche de neige et de ciel. On avance…

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